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Une expérience a été menée dans une exploitation agricole afin de limiter l’utilisation d’antibiotiques sur le bétail. Plusieurs agriculteurs se sont tournés vers des médecines alternatives pour soigner les maux les plus courants des vaches. Les résultats de ce test sont probants !

La méthode de la médecine douce

Certains exploitants ont banni les antibiotiques de leur élevage depuis bien longtemps, en utilisant cette méthode alternative à base d’homéopathie et d’huiles essentielles, en trois ans, le nombre de seringues d’antibiotiques injectées pour soigner les mammites, une inflammation très fréquente chez les vaches ont été réduit par deux.

Une entraide entre les agriculteurs

Soigner ses bêtes avec des médecines douce, ce n'est pas une méthode très répandue. Les agriculteurs se sont donc entraidés afin d'échanger les bonnes astuces, ce qui marche et au contraire, marche moins bien. Telles huiles essentielles ou granules pour traiter ce type de maladie… Il ne faut pas avoir peur d'essayer de nouvelles méthodes. Les traitements naturels, ça ressemble plutôt à de l'analyse et de l'expérientiel.

De vraies économies

Cette démarche permet aussi de faire diminuer de 24 % les frais vétérinaires annuels. Près de 61 euros par bête (dont 18 € consacrés aux antibiotiques) sont prévus par an. Grâce à la médecine douce, la somme dépensée n’est en moyenne plus que 46 €, quand les agriculteurs traditionnels continuent de dépenser 75,50 €.

Il n'y a également plus de déchet de lait en cas de maladie de la vache car avec les antibiotiques, la traite de lait du jour doit être jetée.

Un bénéfice pour tous

Si soigner ses bêtes avec des granules d’homéopathie où des huiles essentielles présentent bien quelques inconvénients, les bénéfices sont supérieurs. La pratique pousse aussi les agriculteurs à revoir leur élevage en profondeur autour de l’habitat des bêtes ou leur alimentation. Car c’est un tout, une approche différente où l'on cherche à trouver les causes du mal afin de les éviter, au lieu de seulement guérir et non prévenir.
Produire sans antibiotiques, ou avec moins, c’est mieux pour la santé des animaux, celle des consommateurs et des agriculteurs aussi !

Tout le monde y gagne  : l’agriculteur, la bête et le consommateur.

 

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